Le bureau politique de Synergie Républicaine s’est réuni ce dimanche 20 août 2023 pour échanger sur la vie du parti et sur la situation politique nationale et africaine. Abordant la situation nationale : – « Synergie Républicaine rappelle qu’il soutiendra un candidat épris d’éthique politique, imbu de nos valeurs et pétri de qualités morales et intellectuelles.
A ces critères il faut ajouter la constance, la loyauté, la compétence, l’expertise dans son domaine et une expérience solide dans la gestion des affaires publiques. – Synergie Républicaine fistuge la réaction d’une certaine société dite civile et d’un groupe d’intellectuels qui demandent à l’exécutif de s’immiscer dans des dossiers judiciaires non encore jugés pour libérer des soi-disant prisonniers politiques.
Le parti regrette que ces groupes d’activistes usent d’une mémoire bien sélective des événements qui manifeste de leur parti pris flagrant. Pour eux, personne n’est coupable des pertes en vies humaines, des saccages de biens publics, des destructions et vols de biens privés quand il s’agit de Ousmane Sonko. Un intellectuel dénué d’objectivité n’en est plus un, quel que soit son rang. », lit-on dans un communiqué. – Sur la problématique de l’immigration clandestine et les causes souvent avancées, le coll révèle que « le gouvernement doit mieux communiquer sur ses relations internationales, ses conventions bilatérales et multilatérales, sur les contrats de pêche, l’exploitation des ressources énergétiques. Le gouvernement doit en outre prendre sérieusement en charge le débat sur la monnaie CFA et son remplacement par l’ECO. Enfin les politiques de formation et d’emploi des jeunes doivent être revues et corrigées pour les rendre plus transparentes et plus équitables.
Synergie Républicaine s’incline devant la mémoire des disparus et demande à la communauté de mieux communiquer avec les jeunes. » – Sur la situation du Niger, Synergie républicaine demande à la CDEAO de rester ferme et déterminée pour dégager les putschistes et ramener dans les meilleurs délais l’ordre constitutionnel. Le Niger, le Mali, le Burkina Fasso ont connu plusieurs coups d’Etat donc gouvernés par des soldats qui ont signé des accords avec la France. Par conséquent si leurs ressources ont été bradées, c’est la faute à des régimes militaires. Cette foule qu’on manipule pour créer un semblant de légitimité n’est pas le peuple du Niger. Pour le Parti Mohamed Moustapha Diagne Citoyen Président