Le mercredi 6 mars 2024, date qui fera histoire, avec l’adoption, par l’Assemblée nationale de la loi d’amnistie des crimes commis entre le février 2021 et février 2024 dans la République du Sénégal.
Au même moment, le président de la République a fixé la date de la tenue des élections présidentielles au 24 mars 2024.
Aussitôt après la décision du Conseil constitutionnel qui arejeté les conclusions du dialogue national, le gouvernement sera dissous dans la soirée pour permettre au Premier ministre et candidat de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) de se consacrer pleinement à ses activités politiques et au déroulement de sa campagne électorale.
Les Sénégalais tétanisés, semblent partagés entre euphorie, crainte et incertitude.
Le Sénégal est à la croisée des chemins, avec les nombreux enjeux économiques et sécuritaires, cette élection sera capitale dans la vie de notre nation. Il y va de la survie de la République.
Cette échéance électorale sera un grand rendez-vous face à l’histoire. En même temps, elle sera une invitation au peuple sénégalais à une prise de conscience sur les responsabilités et les divers enjeux.
Une analyse de l’expression du suffrage des citoyens sénégalais, depuis qu’on vote dans ce grand pays, a toujours montré que le peuple sénégalais est responsable pour choisir ceux qui conduiront la barque de la Téranga. On pourrait êtrerassuré à ce titre.
Aurons-nous l’intelligence, pour l’intérêt supérieur de la nation la survie de la République, de choisir un candidat outillé et capable et gérer l’avenir et la destinée de notre cher Sénégal ?
Ou serons-nous légers et instinctifs pour gober des discours populistes de gens qui n’ont jamais rien pu prouver aux concitoyens ?
Le Sénégal devrait se prémunir d’un tel scénario.
La République sera dans une spirale de vendetta , puisque la vengeance est le plaisir des âmes faibles, étroites et mesquines. Les priorités du peuple sénégalais en ces temps cruciaux sont : l’émergence, le développement et la consolidation des acquis. Il est important pour l’intérêt supérieur de la nation d’être moins passionné et voter utile et intelligent. Il ne faudrait pas permettre à des guignols d’accéder au pouvoir et d’avoir la possibilité de déchoir des hauts officiers de la république (Capitaines, généraux…) au profit d’anciens combattants du MFDC.
Notre État sera infiltré, nos chefs religieux seront conspués. C’est le vrai sens du soit disant « projet » de la formation politique dissoute.
Pour nous Actions républicaines, le Sénégal est un pays très sérieux. Le candidat Amadou Ba ,qui est un homme conciliant et de dialogue est le profil idéal pour gérer ce pays. On ne pourrait prendre le risque d’hypothéquer l’avenir de toute une nation.
Les communes qui ont eu la malchance, lors des dernières élections locales, d’essayer les « rêves de changements vendus »pour gérer leurs prédestinées, sont toujours entre regrets et désolation. Le Sénégal ne devrait pas prendre un tel risque, au moment où tous les partenaires sérieux sont enthousiastes à l’idée d’une continuité, avec Amadou Bà.
Pour continuer la marche résolue vers le progrès et maintenir cette dynamique d’émergence dans la paix, la solution n’est autre qu’Amadou Ba.
Votons Amadou Ba pour la stabilité et l’intérêt de la nation !
Action Républicaine