O8Mars 2024: LES FEMMES PRODUCTRICES DE LA VALLÉE DU FLEUVE GAMBIE ISSUES DE LA COPROVAG ONT CÉLÉBRÉ LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME

À l’instar de la communauté internationale et nationale, avec sous thème :[ INVESTIR POUR UN ACCÈS ET UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU]les femmes productrices de la vallée du fleuve Gambie, plus précisément dans la région de Tambacounda notamment dans les périmètres départementales ont affiché leurs contentement tout en célébrant la journée.

À l’issue de cette célébration, elles n’ont pas manqué d’étaler les difficultés aux quelles sont sont confrontés à l’endroit des autorités locales, elles réclament une meilleure prise en compte de leurs préoccupations dans les périmètres.

La cérémonie officielle de cette journée a été présidée par le préfet du département M.Aliou Badara Mbéngue,sous la présence effective de tous les acteurs où actrices producteurs où productrices de la banne Agro-écologie y compris les partenaires techniques.

Le chef de projet femme et agriculteur résiliente au Sénégal M. Elkhadji Diop, soutient que ce projet est financé par deux ONG canadienne.

Ainsi ,par cette occasion, il a aussi rappelé le but du projet qui consiste l’autonomie sociaux économiques des femmes dans le cadre de l’amélioration de leurs cadre de vie.

Cette journée est annuellement célébrée par les femmes de la coopérative COPROVAG,par le biais du partenariat FAR a indiqué le M.Diop le chef de projet.

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet,il couvre les régions de Tambacounda,Sedhiou et Kolda, et qui est au terme d’écoulement ses programmes, plus deux milliards ont été injecté dans ses zones en termes d’infrastructures équipements entre autres confie t’-il.

Par ailleurs,la présidente des femmes productrices de la vallée du fleuve Gambie, par la voie des producteurs et productrices a remercié tous les partis prenantes, mais également aux partenaires qui n’ont aménagé aucun effort pour la tenue de cette journée soulignant ‘elle.

En éffet, elle a tiré chapeau au projet résiliente à travers ses réalisations en infrastructures et l’accompagnement des femmes et jeunes dans les périmètres, selon elle c’est une manière de lutter pour l’autonomisation des couches vulnérables issues dans le monde rural admet t’elle.

Lamine Kanté/Tamba