La coalition TAKKU WALU Sénégal à Ziguinchor présente ses candidats et brandit les maux du Sénégal et invite

« Tout n’est pas perdu il est encore possible d’atténuer les souffrances avec la victoire du 17 Novembre 2024 pour mettre fin aux dérives du pouvoir »

La coalition TAKKU WALU Sénégal à Ziguinchor a démarré sa campagne dans la capitale du sud (Ziguinchor), par une rencontre d’information dans un hôtel de la place. Qui, s’est soldée par une déclaration face à la presse, ce Dimanche 27 Octobre 2024. La dite coalition dans sa déclaration lue par Ousmane Bâ porte parole du jour de la coalition TAKKU WALU Sénégal du comité électoral du département de Ziguinchor a présenté ses candidats avant de lister des difficultés dont selon ses membres le Sénégal est entrain de vivre. « Nos candidats au niveau du département de Ziguinchor sont Adja Charlotte Dior Gomis titulaire n°1 au niveau de liste départementale, Jean Bernard Diatta deuxième titulaire au niveau de la liste départementale, Taïbou Diédhiou comme suppléant, Fatou Diatta candidats au niveau départemental de Ziguinchor. Entre temps nous nous avons des candidats au niveau de la liste nationale c’est important de les présenter au niveau département de Ziguinchor. Il y’a en l’occurrence monsieur Benoît Sambou au niveau de la liste nationale et madame Madame Angélique Manga également. Comme suppléante madame Fatou Dieng au niveau de la liste nationale », a indiqué Ousmane Bâ.
Qui liste : » Notre pays le Sénégal traverse des moments extrêmement difficiles tant au plan économique que politique qu’au point de vue social depuis l’avènement du nouveau régime le 24 mars 2024. Au plan politique la démocratie sénégalaise est une référence en Afrique et dans le monde, acquise par des générations qui ont parfois versé de leur sang et aujourd’hui piétinés, bafoués par des dirigeants du nouveau régime. Les lois et règlements sont foulés au pied les libertés élémentaires réduites à de pire non respect de notre charte fondamentale est le cadet de leurs soucis. Cela se traduit par des arrestations injustes et insensées en l’occurrence Bougane Guèye Dany, Aleth Ndiaye, commissaire Keita etc j’en passe ». Il martèle dans leur déclaration : »La justice et la force publique sont mises aux pas pour traquer et brutaliser les acteurs politiques de l’opposition. Les interdictions de manifestations citoyennes de sortie du territoire sont monnaies courantes. Les intimidations et les menaces et le discrédit et le dénigrement des honnêtes citoyens sont comme un jeu favori pour eux . Le Sénégal frise pour ne pas dire bascule vers un état dictatorial jamais connu au Sénégal. Au plan économique nous constatons avec déception et regret la faillite et la banqueroute de centaines d’entreprises. L’arrêt des travaux dans les secteurs comme le BTP, les activités portuaires avec leurs lots de licenciements, le secteur du commerce et des transports ne sont pas en reste. Le spectre de la flambée des denrées de première nécessité et autres hausses tous azimuts, eau, électricité gaz j’en passe installent leur désarroi, la torpeur et le sentiment d’insécurité chez nos populations. Tout cela face à un discours d’arrogance et de mépris des nouveaux tenant du pouvoir. Au plan social, les promesses fermes d’amélioration des conditions de vie des sénégalais restent vaines. Et là dégradation de leur dignité humaine a fini par installer une totale perte de confiance vis à vis du nouveau régime. Le faux espoir nourri par ces derniers envers la jeunesse de notre pays s’est estompé car leurs discours n’étaient en réalité ni plus ni moins qu’un discours démagogique, une arnaque politique. En plus le non payement des salaires des milliers de travailleurs, le retard dans les payements ders bourses de sécurité familiale, des bourses des étudiants, l’accroissement sans précédent du taux de chômage, l’accroissement du nombre de candidats à l’émigration irrégulière avec son lot de cadavres sur nos côtes et la pauvreté désagrègent nous familles. Les greves cycliques des nos hôpitaux, hôpital de la paix, hôpital régional de Ziguinchor et au niveau des collectivités territoriales sont sans réponse ni solution de la part des nouveaux tenants dui pouvoir, incompétence ou mépris ».
Toujours dans leur déclaration Ibrahima de poursuivre que ces élections législatives du 17 Novembre 2024, constituent une opportunité pour la coalition TAKKU WALU Sénégal de rassurer nos concitoyens, de restaurer l’espoir chez les jeunes et les femmes. « Il faut leur rappeler que tout n’est pas perdu, qu’il est encore possible d’atténuer leurs souffrances, car la victoire du 17 Novembre 2024 pour mettre fin aux dérives du pouvoir. La grande coalition TAKKU WALU Sénégal regorge de ressources humaines, des cadres bien formés rompus à la tâche et suffisamment expérimentée pour remettre le Sénégal sur les rampes du développement durable et du progrès social, pour restaurer la démocratie et l’état de droit. La grande coalition de TAKKU WALU Sénégal se réjouit de cette forte mobilisation constatée du rassemblement lors du 25 Octobre 2014. Tous les partis, mouvements politiques avec leurs leaders respectifs se sont retrouvés dans un erlan de solidarité, d’engagement ont mis en place de façon consensuelle un comité électoral départemental qui assurera la coordination de toutes les activités liées à la présente campagne qui commence le 27 Octobre ». Et de conclure : »‘Aujourd’hui plus que jamais, la grande coalition TAKKU WALU Sénégal, fidèle à ses principes républicaines et démocratiques appelle à une élection transparente et apaisée. Nous irons à la rencontre des populations jusque dans leurs lieux de travail. Dans leurs quartier, dans leurs villages et même dans les coins les plusieurs fois reculés et sur l’étendue du département de Ziguinchor. Force d’un discours inédit et percutant, d’un programme pertinent qui a la mesure des attentes, nous sommes sûrs que ce sera un travail facile face à notre population qui a déjà tourné le dos à des amateurs, des aventuriers de nos dirigeants qui n’ont aucun sens du respect de la parole donnée. Sept mois de souffrances, jamais vécues ça suffit ».

             Ibrahima GOUDIABY