La ligue régionale de football en collaboration avec ses partenaires comme l’Ong Football Mission et Right to Play, a organisé ce Mardi 06 Mai 2025, au centre socio-sportif Souleymane Ndiaye Dimitri, une conférence publique sur le développement du football en Casamance. Les recommandations ont tourné sur beaucoup de points entre autres une synergie d’actions, pour développer le football dans la région.
Dès l’entame de son propos, entouré d’acteurs, Irama Djiba Président de la ligue régionale de football a rassuré qu’il ne s’agit pas de garder les conclusions dans les tiroirs. Mais de les appliquer et de pousser la réflexion pour que vivement le football en Casamance puisse se développer davantage. « Parce qu’il n’ya pas d’infrastructures et pour développer le football d’abord il faut qu’il y’ait des infrastructures dignes de ce nom. C’est à cela nous appelons tout le monde pour que cela puisse se réaliser. a était demandé une synergie d’actions pour développer le football au niveau de la région. Il le faut et je suis parfaitement d’accord qu’il faudrait nécessairement une synergie d’actions pour que ce football puisse se développer. Maintenant à côté de l’état il y’a les initiatives privées, les ONG ce dont je crois effectivement les actions privées aussi peuvent permettre à développer le football ». Il est également revenus sur les recommandations fortes telles que la poursuite des réflexions auprès des autorités compétentes comme les collectivités territoriales mais aussi l’état d’une manière beaucoup plus élevée », a t-il souligné. Pour lui, il faudra rencontrer toutes les autorités pour leur faire comprendre que le football est un vecteur de développement. Il a été demandé une synergie d’actions pour développer le football au niveau de la région. « Il le faut et je suis parfaitement d’accord qu’il faudrait nécessairement une synergie d’actions pour que ce football puisse se développer. Maintenant à côté de l’état il y’a les initiatives privées, les ONG ce dont je crois effectivement les actions privées aussi peuvent permettre à développer le football », a t-il estimé.
Romain Garcia président de l’Ong Football-Mission et fondateur venu à Ziguinchor dans le cadre du lancement de leur programme de solidarité de développement en Casamance a fini son intervention sur les sensibilisations et les formations. Il a manifesté sa joie de travailler avec la ligue régionale sur plusieurs aspects avant d’indiquer que la pertinence c’est de mettre en avant le côté collaboratif de la ligue et surtout des partenaires extérieurs comme Right to play comme Football Mission. Qui aujourd’hui viennent par leurs propres moyens pour essayer de mettre en place une synergie, une dynamique collective positive. » Déjà on était très complémentaire avec l’instance du football représentée par la ligue qui était plutôt sur l’aspect club formel et élite. Nous on était plutôt sur les clubs ou les écoles de football informelles voire même inexistante. Et pourtant il y’a des jeunes qui mériteraient aussi qu’on s’occupe d’eux l’aspect éducatif, l’aspect sportif fait partie d’eux », a t-il fait constater. A l’en croire le deuxième point observé, est le manque d’engagement de tous les acteurs. Qu’on observe le manque d’engagement de tous les acteurs. « On pense plus on a de multitudes d’écoles de football formelles qui se créent plus ça va faciliter y compris les clubs formels et informels. L’autre aspect c’est qu’un côté il y’a une évolution au niveau des mentalités à avoir sur le fonctionnement qui n’est pas juste du football ». Pour monsieur Garcia, il faut aussi tout un à côté, des personnes qui gèrent la communication, les partenariats, des personnes qui gèrent des activités génératrices de revenus. Et de l’autre côté il faut aussi monter en compétences tous ces encadrants, ces encadreurs, ces dirigeants de clubs et d’écoles de football. « Parce qu’il y’a dès fois une part d’ignorance qui pourrait les amener à devenir non plus dépendants mais autonomes et il faut les accompagner à ce sujet aussi sur l’aspect sportif parce qu’il y’a beaucoup de synergie entre les deux », a t-il dit pour finir.
Ibrahima GOUDIABY