Le gouverneur adjoint Sidi Guissé Diongue en charge du développement, a présidé à Ziguinchor, ce mercredi 08 novembre 2023, un atelier dans le cadre des consultations citoyennes. C’est en vue de l’élaboration du 2éme plan national, dans le cadre du Partenariat pour un Gouvernement Ouvert (PGO). Une rencontre à l’actif du comité national PGO et le ministère de la justice point focal de cette initiative. »Ce qu’il faut retenir c’est que le Partenariat pour un Gouvernement Ouvert (PGO) est une plateforme internationale, qui promeut la bonne gouvernance. Mais également la transparence pour ses états membres. C’est un honneur et une fierté de constater que le Sénégal est membre de ce PGO », s’est réjoui le gouverneur adjoint Sidi Guissé Diongue en charge du développement. Qui précise, qu’il s’agissait aujourd’hui de présenter aux différentes parties prenantes, les principes, les objectifs du PGO. Mais aussi de présenter aux acteurs le plan d’action 2023-2026 avec des engagements. « Et les acteurs locaux ont apporté leurs contributions, leurs suggestions qui seront prises en compte dans le document final », a t-il dit. Mame Latyr Fall représentant du forum civil dans le comité national PGO d’affirmer qu’ils bouclent par Ziguinchor cette tournée dans les trois régions de Kolda, Sédhiou et Ziguinchor dans le cadre des consultations citoyennes. Mais Selon lui, l’originalité du PGO, c’est la co-création, la co-présidence. « Le comité national est composé de (18) membres dont (09) de l’administration et (09) de la société civile. C’est pourquoi vous avez dans la délégation je suis avec Saliou Diop de l’OFNAC au titre de l’administration, moi-même Mame Latyr Fall au titre de la société civile avec Madame Aida Mbaye qui représente le ministère de la justice qui est le point focal pour cette initiative » a t-il indiqué. Il précise : »En 2020 pour élaborer le premier plan national, nous avions fait la tournée sur 13 régions sur 14. Il y’avait que Saint-Louis à cause de la covid-19 où nous n’avions pas tenu ces consultations régionales. Donc il fallait d’abord exercice de recevabilité venir dans ces régions, pour leur dire l’état d’avancement de ce premier plan. En même temps recueillir leurs avis parce que nous sommes dans la conception du deuxième plan. Recueillir les nouveaux engagements non seulement l’assemblée était souveraine pour reprendre les engagements contenus dans le premier plan, les modifier éventuellement, proposer les autres recommandations spécifiques de la région ».
Ibrahima GOUDIABY