Le Programme national d’appui à la valorisation des ressources territoriales commence à créer des emplois pour la jeunesse sénégalaise, des résultats très positifs sur un espace de temps généralement court. 100 jeunes et femmes sont recrutés et formés par GREENPECH dans l’industrie le Nététou et d’autres produits locaux.
«Le problème au Sénégal c’est que le Sénégalais ne respecte le Sénégal, ça veut dire Quand on paye un jeune 50 000f et il arrive le 15 du mois il ne peut pas être efficace dans son travail parce que quelqu’un qui a faim ne peut pas être efficace donc si on veux qu’on respecte notre pays il faut qu’on respecte d’abord nos jeunes, nos employés, notre environnement », déclare l’ambassadrice.
« Ses jeunes qui sont recrutés n’attendent pas 6 mois pour signer un contrat, ils ont un C.D.I avec un salaire décent , 2h de formation par jour payées, ils ont le droit d’aller à leur examen », ajoute Amsatou Sy L’ambassadrice de l’Anat
L’usine GREENTECH a été installée au Sénégal l’un des leaders mondiaux cosmétiques pharmaceutiques et agroalimentaire en Europe pour faire progresser les entreprises au Sénégal.
L’ambassadrice remercie le président Macky Sall qui a été très sensible pour appuyer son idée pour faire en sorte que les jeunes trouvent du travail. Elle a précisé aussi qu’elle est apolitique mais elle respecte l’autorité. Elle revient aussi sur la loyauté du directeur de l’Anat Mamadou Djigo qui aime son pays, pour chercher des ressources, vendre en Europe et à l’international et crée champions pour donner espoir à nos jeunes.
« Le PAVART on le demande on le quémande, on souhaite qu’il soit validé parce que c’est dans l’intérêt de toute notre jeunesse, le PAVART c’est la valorisation de nos ressources qui donne de l’emploi à nos jeunes donc on réclame nous tous à l’unissons la réalisation du PAVART pour changer notre pays », dit-elle
Elle parle d’une jeunesse qui ne veut pas migrer mais plutôt une jeunesse qui veut gagner sa vie, qui ne quémande pas, qui veut travailler et gagner de l’argent à la sueur de son front. C’est cette jeunesse-là qui prend les pirogues pour rallier l’Espagne.
« En campagne électorale, peu importe le candidat, il faut qu’il entende notre message et il faut qu’il sache que le PAVART appartient à notre jeunesse et si on veut que notre jeunesse arrête de mourir en mer alors rendez César ce qui est à César », Conclut- elle.
Ibrahima FAYE (Stagiaire)