Le candidat Serigne Mboup a fait face à la presse au milieu d’inconditionnels et de citoyens désireux de savoir. Il a décortiqué son programme basé sur 5 piliers et structuré autour de 3 axes majeurs. Son projet de société se fonde sur nos valeurs positives et la compétence, pour l’éclosion d’un « nouveau type de Sénégalais ». Il propose sa vision et se réfère sur son parcours.
Le candidat Serigne Mboup a fait là présentation de son programme Yokkou Ba Yegko. Devant un parterre de militants, il a exposé un programme phare, riche et visionnaire.
Yokkou Ba Yegko repose sur cinq piliers : une stabilité certaine pour assurer la sécurité des populations et l’équité dans tout. Un programme chevillé pour privilégier le travail, diminuer la pollution et les débats politiques infertiles.
Les cinq piliers de son programme, a détaillé le candidat Serigne Mboup, vont s’articuler autour de trois axes : Daara J, Tool Bi, Penc Mi. Autrement le Savoir, le Travail et la Démocratie.
Un programme inédit qui se réfère sur son parcours : « Je suis un Ndongo Daara. J’ai fait les études coraniques à Coki, jusqu’à maîtriser les versets du Saint Coran. J’ai étudié l’Arabe. J’ai été professeur. Ce qui est enseigné dans les écoles françaises, nous l’étudions dans les écoles arabes. La manière dont on nous a enseigné nous permet d’avoir une ouverture et de collaborer avec tous. C’est un plus’’, a-t-il souligné.
Serigne Mboup décortique son programme
La colonisation a fait que les gens ont le complexe de ne pas parler le français, mais nous ne devons accepter l’humiliation. Serigne Mboup a servi une anecdote dans ce sens ; à savoir que dans les écoles françaises si vous prononcez un mot en wolof, on vous faisait porter un « symbole », qui démontre que vous avez prononcé un mot en wolof à a place de celui qu’il fallait en français.
En tirant la leçon, le candidat Serigne Mboup soutient que son programme a une vision Pour ce faire, il propose dans l’axe 1 le « Daara J » ; c’est-à-dire une éducation de valeur et une bonne qualité de vie. Pour lui, il faut promouvoir nos valeurs que sont la dignité, la vergogne et le courage ; ceci pour favoriser l’éclosion d’un Sénégalais de type nouveau, ancré dans ses valeurs positives ancestrales, bien préparé à s’insérer dans la vie active et la paix. Un type de Sénégalais apte à contribuer pleinement au développement, disposant d’une bonne santé et d’une bonne alimentation, d’une bonne protection sociale et d’une bonne qualité de vie à toutes les étapes de la vie. Serigne Mboup de rappeler qu’en 1776 Thierno Souleymane Bale, qui avait dirigé la révolution du Fouta, avait dit que ceux qui possédaient de l’argent et dont on ignore la provenance, doivent sortir du terroir. Ainsi pour le Président Serigne Mboup, il faut se fonder sur la compétence sur le choix de la personne à élire.
Expliquant l’axe Tool bi, il a soutenu : « Je dis que je peux créer 5 millions d’emplois en cinq ans. La rencontre pour cette présentation de programme en est une parfaite illustration. Ce que je suis actuellement, si je n’étais pas sûr de pouvoir l’accomplir je ne m’engagerais pas. Je n’ai pas besoin de l’argent de l’Etat. Je veux une rupture dans la gestion de l’Administration. Pour créer les 5 millions d’emplois, je vais prendre dans l’Administration et le mettre dans le secteur privé pour la création d’emplois. Je propose une offre de gouvernance économique. Avoir des pôles régionaux, créer un cadre adéquat, faire en sorte que les Institutions obtiennent des crédits, que la compétitivité soit sur le marché national.
Je mets en compilation le ministère de l’agriculture et de l’environnement, afin de former des experts et créer de la main d’œuvre’’, a-t-il annoncé.
M. Mboup trouve anormal l’importation des poissons au Sénégal. Ce qu’il qualifie comme de l’humiliation. Pour lui, il s’agit de créer de l’emploi sur tout le territoire national et inscrire définitivement le Sénégal parmi les pays émergents. Son ambition est de promouvoir l’accélération d’un développement durable et de la souveraineté économique. « Je ne crois pas à la souveraineté alimentaire. C’est vrai que nous avons notre monnaie, mais nous devons tout faire pour contrôler notre monnaie et le Dollar. Il pose problème au Sénégal ».
PRESENTATION DE SON PROGRAMME DE SOCIETE
Le candidat Serigne Mboup se fonde sur nos valeurs et la compétence
Le candidat Serigne Mboup a fait face à la presse au milieu d’inconditionnels et de citoyens désireux de savoir. Il a décortiqué son programme basé sur 5 piliers et structuré autour de 3 axes majeurs. Son projet de société se fonde sur nos valeurs positives et la compétence, pour l’éclosion d’un « nouveau type de Sénégalais ».
Le candidat Serigne Mboup a fait là présentation de son programme Yokkou Ba Yegko. Devant un parterre de militants, il a exposé un programme phare, riche et visionnaire.
Yokkou Ba Yegko repose sur cinq piliers : une stabilité certaine pour assurer la sécurité des populations et l’équité dans tout. Un programme chevillé pour privilégier le travail, diminuer la pollution et les débats politiques infertiles.
Les cinq piliers de son programme, a détaillé le candidat Serigne Mboup, vont s’articuler autour de trois axes : Daara J, Tool Bi, Penc Mi. Autrement le Savoir, le Travail et la Démocratie.
Un programme inédit qui se réfère sur son parcours : « Je suis un Ndongo Daara. J’ai fait les études coraniques à Coki, jusqu’à maîtriser les versets du Saint Coran. J’ai étudié l’Arabe. J’ai été professeur. Ce qui est enseigné dans les écoles françaises, nous l’étudions dans les écoles arabes. La manière dont on nous a enseigné nous permet d’avoir une ouverture et de collaborer avec tous. C’est un plus’’, a-t-il souligné.
Serigne Mboup décortique son programme
La colonisation a fait que les gens ont le complexe de ne pas parler le français, mais nous ne devons accepter l’humiliation. Serigne Mboup a servi une anecdote dans ce sens ; à savoir que dans les écoles françaises si vous prononcez un mot en wolof, on vous faisait porter un « symbole », qui démontre que vous avez prononcé un mot en wolof à a place de celui qu’il fallait en français.
En tirant la leçon, le candidat Serigne Mboup soutient que son programme a une vision Pour ce faire, il propose dans l’axe 1 le « Daara J » ; c’est-à-dire une éducation de valeur et une bonne qualité de vie. Pour lui, il faut promouvoir nos valeurs que sont la dignité, la vergogne et le courage ; ceci pour favoriser l’éclosion d’un Sénégalais de type nouveau, ancré dans ses valeurs positives ancestrales, bien préparé à s’insérer dans la vie active et la paix. Un type de Sénégalais apte à contribuer pleinement au développement, disposant d’une bonne santé et d’une bonne alimentation, d’une bonne protection sociale et d’une bonne qualité de vie à toutes les étapes de la vie. Serigne Mboup de rappeler qu’en 1776 Thierno Souleymane Bale, qui avait dirigé la révolution du Fouta, avait dit que ceux qui possédaient de l’argent et dont on ignore la provenance, doivent sortir du terroir. Ainsi pour le Président Serigne Mboup, il faut se fonder sur la compétence sur le choix de la personne à élire.
Expliquant l’axe Tool bi, il a soutenu : « Je dis que je peux créer 5 millions d’emplois en cinq ans. La rencontre pour cette présentation de programme en est une parfaite illustration. Ce que je suis actuellement, si je n’étais pas sûr de pouvoir l’accomplir je ne m’engagerais pas. Je n’ai pas besoin de l’argent de l’Etat. Je veux une rupture dans la gestion de l’Administration. Pour créer les 5 millions d’emplois, je vais prendre dans l’Administration et le mettre dans le secteur privé pour la création d’emplois. Je propose une offre de gouvernance économique. Avoir des pôles régionaux, créer un cadre adéquat, faire en sorte que les Institutions obtiennent des crédits, que la compétitivité soit sur le marché national.
Je mets en compilation le ministère de l’agriculture et de l’environnement, afin de former des experts et créer de la main d’œuvre’’, a-t-il annoncé.
M. Mboup trouve anormal l’importation des poissons au Sénégal. Ce qu’il qualifie comme de l’humiliation. Pour lui, il s’agit de créer de l’emploi sur tout le territoire national et inscrire définitivement le Sénégal parmi les pays émergents. Son ambition est de promouvoir l’accélération d’un développement durable et de la souveraineté économique. « Je ne crois pas à la souveraineté alimentaire. C’est vrai que nous avons notre monnaie, mais nous devons tout faire pour contrôler notre monnaie et le Dollar. Il pose problème au Sénégal ».